L'histoire retiendra que l'ex-premier ministre du gouvernement Camerounais, le chief Inoni a été condamné hier à (...)
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tocherro
Le blog d'Eric Robin TOUKAM
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Jeudi 3 octobre 2013 à 14:45
Mardi 2 juillet 2013 à 13:48
La Côte d'Ivoire est un pays prospère et riche. Jadis elle était la puissance de la sous-région occidentale sur tous les plans.
Malheureusement certains cadres ont préférés sauver leurs egos et non celui du pays à travers lequel ils se definissaient. Ce qui engendra tout le déséquilibre actuel que vit la peuple ivoirien.
Toutefois ne desarmez point car il y a un adage qui dit : "Devant Dieu, tout se paie" et le temps de Dieu n'est pas encore arrivé.
Le desordre perpétré par la non-ivoirité a destabilisé l'éducation qui ma foi était l'une des plus prestigieuses en Afrique en général et en Afrique occidentale en particulier.
L'on se demanderait ce qui advient de la politique éducative mise en place par ceux qui auraient voulu avoir le pouvoir. Jugez par vous même en cliquant tout juste sur ce lien : Education nationale / Cepe, Bepc, Bac de 1960 à 2012 : Pourquoi les parents d’élèves dépensent pour rien
Malheureusement certains cadres ont préférés sauver leurs egos et non celui du pays à travers lequel ils se definissaient. Ce qui engendra tout le déséquilibre actuel que vit la peuple ivoirien.
Toutefois ne desarmez point car il y a un adage qui dit : "Devant Dieu, tout se paie" et le temps de Dieu n'est pas encore arrivé.
Le desordre perpétré par la non-ivoirité a destabilisé l'éducation qui ma foi était l'une des plus prestigieuses en Afrique en général et en Afrique occidentale en particulier.
L'on se demanderait ce qui advient de la politique éducative mise en place par ceux qui auraient voulu avoir le pouvoir. Jugez par vous même en cliquant tout juste sur ce lien : Education nationale / Cepe, Bepc, Bac de 1960 à 2012 : Pourquoi les parents d’élèves dépensent pour rien
Mardi 2 juillet 2013 à 13:24
Selon wikipédia, l'expression "presse écrite" désigne, d'une manière générale, l'ensemble des moyens de diffusion de l’information écrite, ce qui englobe notamment les journaux quotidiens, les publications périodiques et les organismes professionnels liés à la diffusion de l'information.
C'est le cas des différentes publications effectuées au Cameroun où les médias sont en général clochardisés. Ce qui implique que les brebis galeuses dans la profession et les lecteurs ne s'y mettent plus car découragés par la qualité des informations y relatées.
Le Cameroun à elle seule compte plusieurs médias donc la parution se fait de manière quotidienne, hebdomadaire et mensuelle. Dans l'ensemble, certains médias sont censés mettre sur le marché quotidiennemnt leur numéro, mais faute de titre convenable ils le font de manière hebdomadaire, voire 02 fois par mois.
D'autres mettent des titres alléchants à la première de couverture pour attirer la clientèle alors que le contenu ne reflète aucunement le titre. Tout ceci se fait dans l'optique de distraire les camerounais et autres lecteurs à travers les grandes réalisations de ce pays.
En plus nous constatons que certains hommes politiques créent des presses privées dans l'optique de combattre leurs adversaires et non concourrir au devenir du Cameroun. Une fois débarqué au poste occupé dans le gouvernement, la presse en elle même disparait sans trop d'explications et Ceux qui sont nouvellement nommés en vrée dès leur arrivée. C'est ce qui definie la presse écrite de mon cher et beau pays le Cameroun.
Par ailleurs, nous ne spécifions pas que la gangrène est aggripée à tous médias car parmi ces derniers, on en dénombre un nombre qui est lu dans le monde en général et au Cameroun en particulier à l'instard :
- Cameroun tribune : www.cameroon-tribune.cm
- Le messager donc le site a été piraté pour l'instant.
- Quotidien mutations.
En définitive, nous pensons que si tous les critères avaient été spécifiés aux états généraux de la commnication, on n'en serait pas là à se demander le rôle principal de la presse écrite au Cameroun.
Autre solution, il faudrait mettre sur pied un ordre pour contrôler au mieux le désordre qui se passe dans la presse.
Bien que le média a une influence dans d'autres cieux, nous espérons que qu'il prendra dans les jours futurs pour la prospérité du Cameroun en particulier et de l'afrique en général.
C'est le cas des différentes publications effectuées au Cameroun où les médias sont en général clochardisés. Ce qui implique que les brebis galeuses dans la profession et les lecteurs ne s'y mettent plus car découragés par la qualité des informations y relatées.
Le Cameroun à elle seule compte plusieurs médias donc la parution se fait de manière quotidienne, hebdomadaire et mensuelle. Dans l'ensemble, certains médias sont censés mettre sur le marché quotidiennemnt leur numéro, mais faute de titre convenable ils le font de manière hebdomadaire, voire 02 fois par mois.
D'autres mettent des titres alléchants à la première de couverture pour attirer la clientèle alors que le contenu ne reflète aucunement le titre. Tout ceci se fait dans l'optique de distraire les camerounais et autres lecteurs à travers les grandes réalisations de ce pays.
En plus nous constatons que certains hommes politiques créent des presses privées dans l'optique de combattre leurs adversaires et non concourrir au devenir du Cameroun. Une fois débarqué au poste occupé dans le gouvernement, la presse en elle même disparait sans trop d'explications et Ceux qui sont nouvellement nommés en vrée dès leur arrivée. C'est ce qui definie la presse écrite de mon cher et beau pays le Cameroun.
Par ailleurs, nous ne spécifions pas que la gangrène est aggripée à tous médias car parmi ces derniers, on en dénombre un nombre qui est lu dans le monde en général et au Cameroun en particulier à l'instard :
- Cameroun tribune : www.cameroon-tribune.cm
- Le messager donc le site a été piraté pour l'instant.
- Quotidien mutations.
En définitive, nous pensons que si tous les critères avaient été spécifiés aux états généraux de la commnication, on n'en serait pas là à se demander le rôle principal de la presse écrite au Cameroun.
Autre solution, il faudrait mettre sur pied un ordre pour contrôler au mieux le désordre qui se passe dans la presse.
Bien que le média a une influence dans d'autres cieux, nous espérons que qu'il prendra dans les jours futurs pour la prospérité du Cameroun en particulier et de l'afrique en général.